Catherine Clément est une française qui connaît son sujet et
Jostein Gaarder un norvégien qui le maîtrise. L'une semblait convaincue de la facilité d'imiter
le monde de Sophie écrit par l'autre (qui venait de se tailler un franc succès) et la voici partie dans
le voyage de Théo. Une bonne idée.
Si Sophie est un clin d'oeil à la philosophie et Théo à la théologie, la comparaison s'arrête là ! le roman ne fonctionne pas. La mise bout à bout des séquences initiatiques fait pchitt !
J'adore l'histoire des religions (pas les religions, leur histoire) et le projet me semblait sympathique. Malheureusement, n'est pas
Jostein Gaarder qui veut et
le voyage de Théo est une quête assez malhabile.
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