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Critique de anniefrance
Changement d'éditeur mais même héroïne, Gillian Crax, lieutenant de police de la Sûreté Urbaine de Lille, dite la Panthère: après le milieu SM de sa première apparition, la voici , par hasard, dans le milieu de l'édition. Au bar à soupes (il a vraiment existé mais a disparu) la flic s'intéresse à des manuscrits proposés par la propriétaire du lieu. Gillian est conquise et veut rencontrer l'autrice et lui trouver un éditeur (les essais de la vieille dame, prof d'histoire en retraite, ont été refusés et elle a abandonné: elle écrit pour son plaisir)
.Gillian propose lors d'une rencontre:" Vous me donnez la permission de chercher un éditeur pour vous? Je connais pas mal de monde à Paris."
Bref retour sur la Panthère sort ses griffes (j'avais oublié cela) Elle n'allait pas lui( Ginette Mouton, l'autrice) raconter que ses parents bourrés de tunes lui auraient permis de vivre sans travailler mais qu'elle avait préféré entrer dans la police pour ne pas sombrer dans la folie....une façon de supporter l'existence sans son frère bien-aimé.
La Panthère trouve un éditeur : Cambier, éditeur assez peu connu de romans historiques.
A un cocktail, elle entend des menaces proférées envers l'éditeur..".Pensez à vos gosses, un accident est si vite arrivé."
La Panthère apprend qu'une société de construction d'habitations de standing: la SCHS, cherche à déloger la maison d'édition pour construire. D'autant que sa situation financière est catastrophique.
Elle se sert de ses charmes pour décider d'une éventuelle publication après lecture du manuscrit ; ça marche et Ginette Mouton est aux anges et elle va rencontrer l'Anaïs mytho, assistante, qui ne lui trouve pas un physique médiatique.
Le livre est publié sous le nom de Gabrielle Sorall, avec une photo. Il a beaucoup de succès et Cambier promet de révéler plus tard le pot aux roses.
Des mois passent et Cambier est écrasé par un chauffard: accident suspect...Gillian obtient l'aide d'un capitaine de Paris
On découvre le cadavre de Ginette Mouton sans son salon: un cambriolage qui aurait mal tourné...
La tableau est installé...à vous de lire et d'éviter les nombreuses fausses pistes.
Le style est clair, l'intrigue un peu tordue mais on évolue dans un monde différent; n'espérez pas en apprendre plus sur le métier de l'édition car le responsable, intègre, meurt assez vite et c'est aussi le cas de l'autrice.
.Gillian propose lors d'une rencontre:" Vous me donnez la permission de chercher un éditeur pour vous? Je connais pas mal de monde à Paris."
Bref retour sur la Panthère sort ses griffes (j'avais oublié cela) Elle n'allait pas lui( Ginette Mouton, l'autrice) raconter que ses parents bourrés de tunes lui auraient permis de vivre sans travailler mais qu'elle avait préféré entrer dans la police pour ne pas sombrer dans la folie....une façon de supporter l'existence sans son frère bien-aimé.
La Panthère trouve un éditeur : Cambier, éditeur assez peu connu de romans historiques.
A un cocktail, elle entend des menaces proférées envers l'éditeur..".Pensez à vos gosses, un accident est si vite arrivé."
La Panthère apprend qu'une société de construction d'habitations de standing: la SCHS, cherche à déloger la maison d'édition pour construire. D'autant que sa situation financière est catastrophique.
Elle se sert de ses charmes pour décider d'une éventuelle publication après lecture du manuscrit ; ça marche et Ginette Mouton est aux anges et elle va rencontrer l'Anaïs mytho, assistante, qui ne lui trouve pas un physique médiatique.
Le livre est publié sous le nom de Gabrielle Sorall, avec une photo. Il a beaucoup de succès et Cambier promet de révéler plus tard le pot aux roses.
Des mois passent et Cambier est écrasé par un chauffard: accident suspect...Gillian obtient l'aide d'un capitaine de Paris
On découvre le cadavre de Ginette Mouton sans son salon: un cambriolage qui aurait mal tourné...
La tableau est installé...à vous de lire et d'éviter les nombreuses fausses pistes.
Le style est clair, l'intrigue un peu tordue mais on évolue dans un monde différent; n'espérez pas en apprendre plus sur le métier de l'édition car le responsable, intègre, meurt assez vite et c'est aussi le cas de l'autrice.
