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Critique de lagrandeval


Juillet 1945, un garçon, Siegfried Bruhns, erre parmi les décombres de Munich. Il ne se souvient pas de son passé sauf à la Napola. Son bras droit souhaite se tendre et crier « Heil Hitler ! » alors qu'il cache son bras gauche qui est tatoué de chiffre. Il est emmené par les américains à l'orphelinat d'Indersdorf. Qui est-il ? Qu'a-t-il subi pour oublier son passé ?

J'ai adoré son roman Max qui décrivait de façon romancée la création des Lebensborn. Ici, l'autrice aborde ce sujet mais après la guerre et la conséquence de la création des Lebensborn : que vont devenir ces orphelins atypiques ? Des enfants enlevés, arrachés à leurs familles pour être aryanisés et adoptés. J'ai adoré ce roman que j'ai lu en deux jours. Je me suis attachée à ce jeune garçon d'une dizaine d'années, à Ida et à Wally, le GI noir. Ce roman est bien documenté car j'ai encore appris sur cette période à travers l'UNRRA, les camps accueillants les personnes déportés, la vie juste après guerre.

Ce roman est une quête pour retrouver sa mémoire, son identité et sa famille.
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