Joli babillage. Un vocabulaire savant et recherché. Un peu vain si on exclut le contexte. Mais quand on sait qu'elle était prisonnière – enfermée dans sa chambre par un mari abusif et vénal, qui de surcroit usurpait son identité, pour terminer la série des Claudine –, on comprend alors que les fleurs qui ornaient sa cellule sont des visiteuses qui ouvrent la porte de l'évasion et on est enclin à l'indulgence, voire à une certaine admiration devant cette force vitale qui la pousse à explorer d'une façon volubile et passionnée un domaine auquel on ne s'attend pas.
Édition rare et numérotée, trouvée dans une microbibliothèque (boîte à livres). Je le garde précieusement.
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