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Critique de Unchatpassantparmileslivres
Pour être connue, il faut être vue.
Ni vues, ni connues présente 75 femmes qui devraient être célèbres et sont pourtant pour la plupart totalement inconnues.
Des femmes qui ont secoué le monde et bravé les institutions et les coutumes. Mais invisibilisées par l'Histoire et les hommes qui la font. Des artistes, des intellectuelles, des scientifiques, des aventurières, des femmes de pouvoir (hé oui), des militantes… de l'Antiquité jusqu'au XXIème siècle, originaires de nombreux pays.
Qui par exemple connaît Alice Guy, qui travaillait pour Léon Gaumont et a inventé le cinéma de fiction en même temps que Georges Méliès, elle avec La Fée aux choux, et lui, avec L'Arroseur arrosé ?
Des biographies de trois pages, illustrées d'un portrait, à chaque fois que c'est possible, et augmentées d'une bibliographie sur chacune de ces femmes.
Ce livre est tout à fait dans la mouvance de Culottées, de Pénélope Bagieu (qui a rédigé la postface), paru une petite année auparavant, et, comme celui-ci, réhabilite des femmes injustement oubliées.
A quand "Aux grandes femmes, la patrie reconnaissante" ?
Ni vues, ni connues présente 75 femmes qui devraient être célèbres et sont pourtant pour la plupart totalement inconnues.
Des femmes qui ont secoué le monde et bravé les institutions et les coutumes. Mais invisibilisées par l'Histoire et les hommes qui la font. Des artistes, des intellectuelles, des scientifiques, des aventurières, des femmes de pouvoir (hé oui), des militantes… de l'Antiquité jusqu'au XXIème siècle, originaires de nombreux pays.
Qui par exemple connaît Alice Guy, qui travaillait pour Léon Gaumont et a inventé le cinéma de fiction en même temps que Georges Méliès, elle avec La Fée aux choux, et lui, avec L'Arroseur arrosé ?
Des biographies de trois pages, illustrées d'un portrait, à chaque fois que c'est possible, et augmentées d'une bibliographie sur chacune de ces femmes.
Ce livre est tout à fait dans la mouvance de Culottées, de Pénélope Bagieu (qui a rédigé la postface), paru une petite année auparavant, et, comme celui-ci, réhabilite des femmes injustement oubliées.
A quand "Aux grandes femmes, la patrie reconnaissante" ?
