Et toujours les forêts

J'ai enfin lu le dernier roman de Sandrine COLLETTE. Dans la continuité de juste après la vague, on reste sur un événement catastrophique qui bouleverse le monde, et on suit Corentin, en fin d'études, qui échappe à la mort et veut à tout prix retourner dans sa campagne retrouver son arrière grand mère, Augustine, qui l'a élevé après l'abandon de sa mère, une très mauvaise mère. Corentin est loin d'être le héros parfait.
L'auteure explore la survie dans un monde dévasté, l'homme qui cherche à poursuivre la lignée de l'humanité par tous les moyens avec Corentin qui fait ce qu'il peut avec ce qu'il peut, ses instincts primaires se réveillent. Tout au long de son aventure il est accompagné par un chien, l'aveugle, quoi de mieux qu'un chien quand on doit traverser seul un pays dévasté.
Et comme dans beaucoup de roman post apocalyptique, l'auteure met en scène aussi ce que l'homme a de plus noir dans ce nouveau monde où la loi du plus fort devient la seule loi.
J'ai bien aimé la fin du roman