Hunger Games, tome 3 : La révolte

Je me suis lancé dans la trilogie sans arrière pensée. Ayant aimé le 1 qui pouvait se suffire à lui même j'ai tout de même persévéré car je me demandais comment une auteure américaine allait se dépêtrer avec le puissant sentiment de révolte et de contestation politique qu'elle avait créé avec une acuité politique que je n'avais jamais lu dans un livre de littérature américaine. J'avais hâte de savoir comment tout cela aller se terminer.
Ben s'est une catastrophe. Non seulement la trame aventureuse est moins prenante que dans les précédents volumes, mais la pirouette sémantique finale pour escamoter l'engagement politique est navrante. Créer une égérie révolutionnaire pour la faire retourner à ses fourneaux voilà une bien belle morale féministe.

Aller j'attaque le tome 3, en vrai, je suis tentée d'abandonner, mais quelques avis lus, de ci de là, me donnent l'envie d'aller voir par moi-même.

Donc, ce tome 3 commence fort, très fort.

Katniss est sauvé, mais son peuple, son district 12 est anéanti. Il fallait bien que le pouvoir se venge donc ils sont allés au plus simple, ils ont tué tout le monde. Enfin, pas tout le monde, car Gale son ami d'enfance, et sa famille sont sauvés. Ils ont tous trouvé refuge dans le District 13. C'est là qu'est installée la rébellion.

Bon, des le départ, rien ne va. le district 13 c'est l'armée, tout est militaire, tout est cadré. On ne peut pas faire d'écart même les repas sont calibrés au minimum, juste pour se maintenir en forme. Tout est planifié, on ne doit pas sortir, on ne doit pas faire d'excès, c'est l'austérité, une austérité organisée, instaurée, acceptée. Et Katniss à cette phrase terrible : « Par certains aspects, le district Treize est encore plus sévère que le Capitole » Wouah… On est à la page 48.

Voilà, c'est dit, l'autrice à bien dévoilé le fond de sa pensée : n'allez pas rêver, la rébellion ce n'est pas la liberté. La rébellion c'est pire que le pouvoir. La rébellion instaure un pouvoir et si vous n'êtes pas d'accord, et bien partez, allez donc vous faire tuer par le pouvoir.

On est dans le système. Katniss est prisonnière du système quoiqu'elle fasse, elle n'a aucune porte de sortie. le système, la société est ainsi faite. Dès le départ, il n'y a pas de bons ou de méchants, le système est ainsi fait que si l'on n'est pas au bon endroit au bon moment, on n'est qu'un pantin manipulé par le pouvoir qu'il soit du Capitole ou du district Treize.

Et puis, c'est la guerre, et là on aborde toute la psychologie de la guerre et des soldats.

Le soldat doit obéir et c'est la plus grande faiblesse de Katniss, (page 292) elle ne sait pas obéir. Mais elle décide de changer et d'obéir comme un bon soldat. Et jusqu'à la fin, rien ne vient remettre en question cet ordre-là, qu'il soit l'obéissance ou les obligations meurtrières de la guerre.

Le père de l'autrice était militaire. Quelle vision à l'autrice des soldats ? Peut-être, pense-t-elle qu'un soldat n'est ni bon ni méchant, c'est un soldat et, quel que soit le système pour lequel il combat, il n'est en rien responsable de la misère de ce système, il n'est pas non plus responsable des dégâts qu'il occasionne autour de lui, un soldat est une machine à obéir aux ordres.

Un soldat peut tuer, il n'est pas l'assassin.

Mais voilà, je suis antimilitaire et ce genre de message bloque dans mon esprit et oriente automatiquement ma réflexion. Et oui, désolée on n'a pas tous l'attrait de l'uniforme 😉

C'est une guerre, des bons et des méchants, jusqu'au moment où les bons doivent devenir méchants pour gagner. L'autrice nous explique que c'est ainsi tout humain à une part d'horreur en soi. Ainsi, la guerre dans la ville est terrible, les gens meurent sans discernement, tués par les bons pour que le combat prenne fin. J'ai lu quelque part qu'Hiroshima avait tué des millions de personnes, mais sauvé des millions de vies ! Est-ce acceptable ? N'est-il pas possible de remettre en cause, de refuser un tel constat ? L'autrice ne remet pas en cause, elle constate et ça me dérange.

Jusqu'au final, que je ne dévoilerais pas, mais qui nous ramène au début, au premier tome, à un tout cela pour ça, absolument déprimant. Qui revient à penser qu'il ne faut rien changer, car de toute façon, quoiqu'il arrive face au pouvoir, on perd.

Et à la fin, ils se marient et ils eurent de beaux enfants.

Cela n'a pas changé, Katniss doit toujours se battre contre le Capitole qu'elle a à dos. Les guerres se succèdent et s'enchaînent. Des choix doivent être faits pour sauver le maximum de personnes et subir le moins de dégâts. le district 13 est au coeur de cet opus, qu'adviendra-t-il de lui et de tous ses gens ?

Nous avons connue Katniss combative et forte, la voici pessimiste et accablée. Ce n'est pas cette Katniss que je voulais voir pour l'ultime tome, et je pense que personne ne voulait voir celle-ci. Elle est malheureuse, râleuse et s'apitoie constamment sur son sort. Comprenez qu'il est difficile d'apprécier un personnage aussi abattu. le second personnage, Peeta, n'est guère mieux. Il semble passif et enfermé dans sa bulle de folie criant à la peur et à la souffrance. Où sont donc passé nos héros ? Pourquoi l'auteure a-t-elle réduit nos courageux combattants à l'état de légumes ? Je comprends qu'elle ait voulu changé l'atmosphère en quelque chose de dramatique mais la goutte a débordé le vase.

L'action que l'on a connu dans le premier tome, ces événements imprévisibles et surprenants ont totalement disparu dans ce dernier tome. le livre est mou, le rythme est lent. Il m'a fallu abandonner ce roman et le reprendre un an plus tard pour le terminer. du début à la conclusion de l'ouvrage, j'ai eu l'impression que ce livre n'était que le schéma encore brouillonné de ce qu'allait écrire l'auteure. Ce n'était pas assez développé, pas assez travaillé et le manque de rebondissements étaient trop important pour se plonger dans l'histoire. En prime, le triangle amoureux est sans intérêt, il s'agit pour moi de combler les moments de vide avec une histoire d'amour compliquée et sans utilité. le grand final n'était pas ce que j'imaginais. Il manquait de piquant et de paillettes dans les yeux. Toutefois, les dix dernières pages étaient ce que j'attendais durant toute ma lecture condensée en une courte période. En vérité, un seul élément de cette lecture m'a fait un pincement au coeur mais vous ne le saurez que si vous le lisez ou que vous l'avez déjà fait.

L'objectif de l'auteur était de nous plonger dans un monde chaotique où tout avait changé depuis la dernière fois. le but étant atteint, on ne peut qu'en conclure que sa manière de faire était trop extrême et que le lecteur a du mal à se positionner dans ce nouvel environnement. Il est évident qu'elle voulait mettre en avant les conséquences des guerres mais il n'était pas nécessaire d'en gâcher la lecture.

Je suis très déçue de cette finale, un roman fait de rayures et de flèches en tout sens. Ce devait être le tome inédit, tant attendu. Et pourtant, c'est celui que je redoutais le plus. À chaque chapitre, les mêmes sentiments, les pensées revenaient. J'avais l'impression de reculer dans ma lecture à chaque nouvelle page que je consommais. Selon moi, ce troisième opus n'était pas nécessaire. Elle aurait simplement pu changer quelques éléments du second tome et cela aurait évité un tome trois inintéressant. Une question me trotte en tête, pourquoi l'auteure a-t-elle massacré cette saga qui semblait prometteuse ? Il s'agit là d'une question personnelle et d'un avis qui m'est propre. Je suis heureuse de fermer les portes de cet univers dans lequel je ne me sentais plus à ma place.
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{ATTENTION: toute personne ayant adoré ce livre ferait mieux de ne pas lire cette critique sous peine de colère intraduisible envers l'auteur de celle-ci : moi. Je ne serais pas responsable de vos blessures si vous continuez à lire.}

ARRGGHHH.
Il est rare que je n'aime pas un livre. Mais il ne m'est presque jamais arrivé d'en détester un.
Non, je ne déteste pas ce livre, je ressens juste une colère profonde mêlée de haine envers lui.
Je me sens trahie.
Autant le tome précédent m'avait déçu, autant celui là a été le coup de grâce!
Tout m'a paru superficiel, les intrigues m'ont parues extrêmement mal menées, il me revenait en mémoire des éléments contradictoires venant de la trilogie, Katniss m'a réellement donner envie de lui tirer les cheveux d'un façon très mature.
Bref. Je sais que beaucoup de personne adorent ce livre, et j'ai vraiment essayé de l'apprécié, mais la toute fin m'a dégoûtée d'avoir lu ce livre. Toute la pression accumulée au cours des premiers romanes n'a pas explosée, elle s'est dégonflée comme un ballon de baudruche ! [d'où mon sentiment de trahison, d'ailleurs]
Je ne m'attarderais pas plus, je n'ai pas aimé, voilà tout.

Déception ! A la hauteur de mon attente, probablement. J'avais été enthousiasmée par le premier tome, et le second restait très enlevé. Dans cet ultime opus, je me suis ennuyée au possible.

Pourquoi ? Parce qu'il ne se passe pas grand chose dans ce livre. Katniss, l'héroïne, semble s'être effacée ; ce qui faisait son charme dans les deux premiers tomes, sa force et sa combativité, semblent parties en fumée. Elle n'est plus que le jouet d'un destin qu'elle ne contrôle pas, qu'elle ne semble pas vouloir contrôler. Elle devient l'image d'une résistance qui mise tout sur la propagande ; l'idée d'exploiter au maximum ce que le pouvoir peut faire de l'image est pourtant bonne, mais peut-être poussée à l'extrême : le tournage des spots de propagande prend ici le pas sur l'action qui faisait le charme des deux premiers tomes de Hunger Games. Il faut attendre l'assaut final pour retrouver notre héroïne telle qu'elle est, rebelle dans l'âme, prête à se battre pour les siens et un monde meilleur.

L'incohérence de l'intrigue et l'évolution psychologique des personnages m'ont également déçue : on se demande parfois comment on arrive à telle situation, avant d'en avoir un éclairage des pages plus loin. Katniss, elle, ne semble plus se préoccuper que de ses sentiments personnels, et ses hésitations amoureuses m'ont - il faut l'avouer - prodigieusement gonflée. le personnage de Coin, la présidente du district Treize, n'est absolument pas travaillé ; Peeta est sous-exploité, tout comme Haymitch, à peine présent dans ce volume alors qu'il avait été si bien développé dans le tome précédent. Et Gale : toujours aussi flou pour le lecteur. Seul le personnage de Prim, la petite soeur, est exploité avec intérêt.

Il reste toutefois de bons passages : je retiens de ce volume le passage de la chanson du Pendu, très émouvant, et un assaut final du Capitole assez bien réussi : la fuite des populations et la dernière bataille sont les plus concluants.

A lire uniquement pour clore une histoire qui avait si bien commencé.

Déçue
Autant j'ai adoré les 2 premiers autant celui la j'ai eu du mal a le finir le début est trop lent et la fin est bâclée il n'y a plus de jeux les personnages sont différent sans moralité tous le monde ou presque meurt dans une atroce souffrance Livre immoral a ne pas mettre dans les mains de n'importe qui

Je ne vais pas y aller par quatre chemins, ce livre est certainement ce que j'ai lu de plus mauvais depuis pas mal d'années. le récit est centré sur Katniss, qui réfugiée dans le district 13 passe son temps à trainer son malheur comme un boulet et à se lamenter sur son pauvre Peeta qui est retenu prisonnier par les méchants du Capitol. Les chapitres s'égrènent et c'est toujours la même rengaine qui revient page après page. le monde est trop cruel. Katniss ne pourra pas vivre sans Peeta ni supporter l'idée qu'il lui arrive du mal à cause d'elle. Arrivera-t-elle un jour à savoir qui de Peeta ou de Gale elle aime vraiment ? Cette Katniss en mode Caliméro, incapable d'agir, de se prendre en main et de devenir le leader de la lutte armée contre le Capitol est tout simplement insupportable. L'action que tout le monde attend et qui avait fait le succès du premier tome n'arrive que dans le dernier quart du récit. Avant ce n'est que jérémiades, bons sentiments et amours de collégiennes totalement niaises et stupides. En plus c'est écrit n'importe comment, sans style, avec un vocabulaire qui ne doit pas dépasser les 200 mots. C'était sans doute déjà comme ça avant, mais avant il y avait une histoire et des personnages sympas qui arrivaient à cacher la misère. Là, il n'y a plus rien. Juste un machin qui ne vole pas plus haut qu'un roman harlequin en termes d'intrigue et de psychologie des personnages.

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États d'âme sans fin et dantesques. Les passages cruciaux sont insignifiants, les raccourcis coupant à la truelle le rythme de la narration.
Un beau gâchis de cet univers si bien décrit dans le premier tome qui aurait mérité mieux.
La fin ressemble à une punition faite au lecteur ou un exutoire de son auteure (que l'on imagine volontiers en pleine thérapie) ou les deux.
Le seul point positif de ce tome : on retiendra le côté tortueux de l'adolescence qui est bien retranscrit. Mais à quel prix ?

Je fais partie du genre de lecteur ou spectateurs qui ne consultent les critiques d'une oeuvre que lorsque celle-ci l'a laissée sur sa faim.
C'est le cas de cette trilogie pleine de promesses qui se trouve incapable de tenir la longueur.

Le premier Tome m'a conquis. On se retrouve plongé dans l'univers sadique et violent de Battle Royal dans un univers futuriste cohérent. le plaisir un peu pervers de découvrir les pièges, dilemmes et injustices auxquels l'héroïne doit faire face rend la lecture aisée et fluide.
Le mot qui pourrait le mieux décrire ce tome est l'impuissance. La victoire du duo du District 12 sur le Capitole arrachée grâce à une poignée de baies est brève mais jouissive et les menaces qui planent alors sur Katniss donnent immédiatement envie de se plonger dans le tome 2.

On commence à sentir dans le deuxième Tome que l'auteur ne sait plus vraiment quelle direction prendre.
Celui-ci commence pourtant très bien. Les menaces du président Snow et la Tournée des Districts rétablissent l'ambiance cruelle et torturée du Tome 1. L'annonce de l'existence de l'Expiation (édition spéciale des Hunger Games) attise également la curiosité.
C'est à partir de ce moment que l'histoire prend un tournant qui ne m'a pas convaincu.
On s'imagine assister à des Hunger Games aux côtés de Katniss, cette fois-ci mentor. Nous permettant ainsi de découvrir les rouages du jeu, avec peut-être Prim dans l'arène (ou Gale via une nouvelle règle de l'Expiation).
Au lieu de ça, on mange du réchauffé. Katniss retourne dans l'arène avec Peeta. Pour des jeux qui finissent en pétard mouillés. On regrette vite le manque d'originalité de l'auteur. Pourquoi ne pas avoir envoyé Haymitch et éloigné un peu l'histoire de l'idylle trop longue et fatigante entre Katniss et Peeta ?
On finit en apprenant l'existence d'une force Rebelle qui calme un peu notre appétit.

On commence alors la lecture du troisième et dernier Tome. Et rien ne se passe comme prévu. Alors qu'on s'attend à assister à l'envol du Geai Moqueur, épris de liberté et de justice, on se retrouve face à des centaines de pages retraçant la dépression de l'héroïne. Aucun coup d'éclat, aucune utilité réelle de sa part. La dépression, qui permet normalement de mieux préparer un retour flamboyant du héros s'éternise et s'installe.
On finit par comprendre que l'auteur veut nous priver du plaisir de la conquête qu'on est sensé éprouver suite aux victoires des rebelles. Que quoiqu'il arrive, Katniss restera du début à la fin impuissante face à son sort. Très rapidement, on n'apprend plus rien sur Panem. Fini les anecdotes diverses sur les Districts, les Hunger Games, le Capitole.
La noirceur a vite fait de s'emparer de ce Tome 3, et on ne comprend pas bien l'intérêt.
Le lecteur est trahi, trainé pages après pages dans une intrigue faussement complexe entachée de passages à l'eau de rose sur les amours de l'héroïne.
L'auteur ne respecte pas la promesse tacite de voir Katniss briller. Tout comme elle est l'outil des rebelles pour sa propagande, elle devient l'outil de l'auteur pour nous faire passer un message puant la démagogie à propos des méfaits de la guerre : personne n'en sort indemne.
Seulement voila, ce n'est pas pour qu'on me délivre ce message que j'ai entamé la lecture de ce dernier Tome. On lit les Hunger Games pour la violence et la survie. On les lit pour le plaisir de détester le Capitole représenté par le président Snow, le méchant par excellence. Et on les lit pour le plaisir de suivre Katniss, plongée dans la violence par pure injustice. Une héroïne certes soumise plus d'une fois au doute et capable de se tromper mais qui incarne le bien.

En voulant introduire la nuance dans son oeuvre, en mettant sur un même pieds les rebelles et le Capitole, en faisant de Katniss l'allégorie de souffrance engendrée par la guerre, l'auteur a assassiné l'essence même son livre : l'espoir.
Lorsque la bombe dans le Grand cirque explose, Katniss est comparé au Geai Moqueur qui s'embrase et perd ses ailes.
Depuis le début, l'espoir est présent partout. C'est l'espoir de survivre qui habite Katniss lors de ses premiers jeux. C'est cet espoir de survie qui permet au Capitole de tenir les Districts dans la peur. C'est l'espoir qui habite les rebelles.
Mais quel espoir reste-t-il au lecteur une fois l'épilogue achevé ? Katniss ne sera jamais l'héroïne qu'on attendait. Elle ne sera jamais le fer de lance de la rébellion mais une couche trop épaisse de fond de teint.

Je suis conscient que beaucoup auront aimé cette noirceur et la décision de l'auteur d'emmener Katniss sur ce terrain, que c'est justement la volonté de l'auteur.
Pour ma part c'est le signe d'un manque d'inspiration. Preuve que l'auteur n'a pas trouvé de solution cohérente pour permettre à Katniss d'achever elle-même la tyranie de Snow au sein du Capitole. Preuve que son Geai Moqueur n'avait finalement pas l'envergure pour incarner un espoir autre que l'espoir factice qu'il incarne dans les spots de propagande.

La Révolte est le troisième et dernier tome de la série Hunger Games. Autant le dire tout de suite, ce livre est une véritable déception. Je me suis ennuyée, j'ai laissé traîné le livre longtemps. Seule, la dernière partie du roman est passionnante, lorsque enfin Katniss et son équipe entrent en guerre contre le Capitole. Je n'ai pas aimé non plus la conclusion. Grosse déception pour ce troisième opus par rapport aux deux autres tomes.