Car dans ces rencontres, chacun et chacune a reçu plus qu’il n’a donné. C’est le propre de l’altruisme. On ne s’épanouit soi-même, on ne grandit en humanité que dans la relation à l’autre. C’est le bonheur d’aider.
Les réfugiés cessent d’être des migrants dès qu’ils ont une histoire à partager, ils redeviennent des êtres humains à part entière, nos semblables, si proches de nous.
Les femmes afghanes, souvent confinées au domicile, ne voient que rarement le bleu du ciel. A vélo, elles fendent le vent et se prennent tout à coup pour des oiseaux.
Je ne suis pas instruit, mais j’ai l’esprit ouvert en ce qui concerne le droit des femmes, et je voulais qu’elles cessent d’être une classe d’opprimées, j’ai commencé par ma famille.