Une lectrice m’accuse de partis pris. « A vous croire, m’écrit-elle, toutes les femmes seraient de fieffées salopes qui ne rêvent que de donner leur cul au premier venu. Si c’était vrai, ça se saurait. »
Et pourquoi ça se saurait-il, chère madame ? Vous écrivez bien : des salopes qui rêvent de donner leur cul. Pas des salopes qui donnent leur cul. Je ne prétends rien d’autre
Esparbec.
Sa blouse blanche moulait ses seins généreux et solides, son ventre légèrement arrondi, ses hanches pleines. À travers le tissu léger, on devinait son slip et on voyait qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, ce qui confirmait mes craintes.