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Critique de tchouk-tchouk-nougat


Le palladium et la haine de la déesse qui y est enfermée traversent les ages. Cette fois c'est césar qui va faire les frais de sa malédiction. Lui si grand, lui qui allait prendre le pouvoir absolu, lui qui allait réunir Orient et Occident va recevoir 23 coups de poignard ce jour funeste des ides de mars.

Les familles Furius et Aquila sont toujours les premières victimes du Palladium. D'un coté Furius Léo et la grande prêtresse Nautia Aquila protègent le Palladium qui doit rester à Rome coute que coute même si pour cela il faut pousser les sénateurs à assassiner César. Et de l'autre Nautius Aquila et Laena Furius qui font tous faire pour le protéger et se mettre en travers des desseins démoniaque du Palladium. Bref encore une tragédie familiale en plus de celle historique bien connue.
Le scénario est plutôt intéressant, ce n'est pas toujours facile avec un événement aussi connu et raconté que l'assassinat De César. D'ailleurs César et sa relation avec Cléopâtre sont ici au premier plan, on s'attarde au final assez peu sur les familles protégeant le Palladium.
J'ai bien aimé la façon dont a été montré cette relation entre la reine d'Egypte et César. Entre amour et intérêt politique. Tout y est. Même la pauvre Calpurnia, la femme officielle De César, si tolérante et quand même inquiète pour César le jour des Ides de Mars.

Le dessin est particulièrement lumineux et rend une Rome colorée très plaisante.
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