Outre parler de
Robespierre, Alix Corbière et
Laurent Maffeïs, font la démonstration de la falsification de l'histoire, de sa réécriture, par des faussaires aux services d'intérêts idéologiques religieux ou de droite.
Par haine de l'Incorruptible certains en viennent à lui prêter les crimes des autres, à inventer des événements, à cacher ses réalisations, à exagérer son importance, à déformer les événements historiques, à blanchir des criminels... pour noircir le tableau de la Révolution.
Henri Guillemin, comme Corbière, a lui aussi rétablit la vérité, mais sur
Bonaparte, écornant au passage la légende impériale.
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