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Critique de Malahide75


Sixième tome de la série. Mais pour ce qui est du fil narratif, on est ici dans la seconde partie d'un troisième livre, suite directe des Jeux de Némésis.
On prend les mêmes, on rajoute du sel et du piment, on mixe un peu. Pour rehausser, on ajoute des ingrédients inédits et on déguste, chaud ou froid, au choix.
Je vais faire l'impasse sur le résumé : les abonnés de la série savent où nous en sommes. Aux autres... euh... et si vous commenciez par le premier ?
Dans l'infini des mondes, les auteurs ont fait le choix de se focaliser sur le noyau familial. La famille génétique, mais aussi celle que l'on se construit, celle que l'on choisit. Les familles de coeur, les familles d'idées ou d'idéologie... Et dans cette image d'Epinal, tout ce que ces liens génèrent en termes de joie, de déception, de trahison, de meurtres propres ou figurés.
Logiquement il est ici beaucoup question de Naomi, exemple-type du dilemme cornélien.
Pour le reste, la recette est classique : une entame un peu lente, histoire de se remettre dans le bain tranquillement, puis le jus et l'accélération à 15 g.
Nous sommes en territoire connu.
Passée la trilogie d'origine et son annexe, cette deuxième boucle si je puis dire, revient à une thématique plus classique : des dilemmes humains sur un fond de batailles spatiales.
Un début d'essoufflement pointe son nez.
Je reste fan cependant, car l'univers peint par les auteurs laisse encore de la place à une multitude de bonnes surprises.
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