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Critique de pencrannais
C'est simple, j'ai adoré.
Quand on mélange tout ce que le cinéma, la BD, les comics, les pulps, les romans d'aventure ont produit de meilleurs dans les deux premiers tiers du XXe siècle, et qu'en plus, l'histoire, les personnages, les méchants (très important, ça, les méchants !) tiennent la route. Et bien ça donne Magie brute.
Imaginez un monde où depuis le XIXe siècle, certains hommes et certaines femmes (les actifs) disposent de pouvoirs à la X-Men (grosse référence de l'auteur) : lire les pensées, se téléporter, guérir, modifier la gravité (j'en passe et des meilleurs). Certains actifs ont créés des sociétés secrètes (les chevaliers du Grimnoir, par exemple) et s'affrontent souvent entre eux. Sauf que le plus puissant des actifs, le plus psychopathe, sociopathe, mégalo (liste non exhaustive) d'entre eux, à la tête de l'Imperium (en gros, le Japon impérialiste) décide, dans cet entre-deux-guerre revisité, de dominer (lui il pense "sauver") le monde, en éliminant au passage, le Grimnoir, les Etats-Unis, et toux ceux qui ne seraient pas d'accord (car sinon, ce ne serait pas marrant).
On s'attache aux personnages et on en prend pour plus de 600 pages de coolitude (ça n'existe pas comme mot, mais ça veut bien dire ce que ça veut dire) : des batailles en dirigeables, des pirates du Pacifique, des poursuites à la James Bond, des traitres (ou pas c'est selon !) et de l'humour bien dosé pour lier le tout. N'en demandez plus ! Tout y est, je vous dis !
Le livre peut se suffire à lui même, mais je me reprendrai bien une deuxième dose avec la suite...
Quand on mélange tout ce que le cinéma, la BD, les comics, les pulps, les romans d'aventure ont produit de meilleurs dans les deux premiers tiers du XXe siècle, et qu'en plus, l'histoire, les personnages, les méchants (très important, ça, les méchants !) tiennent la route. Et bien ça donne Magie brute.
Imaginez un monde où depuis le XIXe siècle, certains hommes et certaines femmes (les actifs) disposent de pouvoirs à la X-Men (grosse référence de l'auteur) : lire les pensées, se téléporter, guérir, modifier la gravité (j'en passe et des meilleurs). Certains actifs ont créés des sociétés secrètes (les chevaliers du Grimnoir, par exemple) et s'affrontent souvent entre eux. Sauf que le plus puissant des actifs, le plus psychopathe, sociopathe, mégalo (liste non exhaustive) d'entre eux, à la tête de l'Imperium (en gros, le Japon impérialiste) décide, dans cet entre-deux-guerre revisité, de dominer (lui il pense "sauver") le monde, en éliminant au passage, le Grimnoir, les Etats-Unis, et toux ceux qui ne seraient pas d'accord (car sinon, ce ne serait pas marrant).
On s'attache aux personnages et on en prend pour plus de 600 pages de coolitude (ça n'existe pas comme mot, mais ça veut bien dire ce que ça veut dire) : des batailles en dirigeables, des pirates du Pacifique, des poursuites à la James Bond, des traitres (ou pas c'est selon !) et de l'humour bien dosé pour lier le tout. N'en demandez plus ! Tout y est, je vous dis !
Le livre peut se suffire à lui même, mais je me reprendrai bien une deuxième dose avec la suite...
