En ces jours-là, la fête errait parmi les étoiles, gazouillant à travers ta sueur et les mouvements de tes reins. J’étais morcelée à travers ces ondulements, tendrement broyée par tes hanches et ton ventre en cascade dans ma destinée et ma folie. C’est là que je suis née, au milieu de tes eaux nombreuses comme des mots insensés et délirants. Tu plantais des rivages infinis d’abîmes et de jouissances dans ma nudité.
L’insomnie de la mer dans mes cheveux
Ce bégaiement dans le miroir
Pour me dire
Que la nudité est infinie