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Critique de oiseaulire


Une femme se promène ; frôlée par un cerf, elle tombe dans une grotte, symbolisant une faille spatio-temporelle, ou psychologique, qui lui donne accès, dans un élan mystique, à la vie de Bernadette Soubirous.
Je n'aime rien dans ce roman, ni la forme poétique, ni le faux style à la Duras : "Le vent, ce n'est pas fini" ;
"On n'a rien entendu mais d'accord".
"Nous sommes devant le coup de."
"Moi c'est la faim qui."
"Les grandes, passereaux par-dessus elles, s'interrogent de plus en plus. Quel genre on a, là."

Marie Cosnay a lu Peguy. Marie Cosnay a lu Duras.

J'ai un peu lu Duras. Je crois que je vais lire Peguy.
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