>
Critique de kouette_kouette
3e volet de l'hommage rendu à Hugo Pratt, fameux auteur de BD. Cette fois, c'est le Hugo adulte qui retrace de façon anecdotique et décousue ses parcours professionnel et personnel.
Ce qui m'a marqué en premier dans ce volume, c'est la colorisation.
Des planches sont uniquement en bichromie. Nuançant le noir et le rouge, ou le noir et le jaune, ou le noir et le bleu.
D'autres planches s'approche plus d'une colorisation "classique". Et d'autres encore sont en noir et blanc.
Toute ces alternances mettent en évidence les différentes versions de la vie d'Hugo Pratt. On comprend très bien à quel point Paolo Cossi a voulu mettre en évidence le refus de cet homme de n'avoir qu'une seule vie réelle.
"Il s'est inventé une très belle vie et il l'a vécue".
Cette phrase semble très bien résumer celui qu'était cet auteur mystérieux.
Et puis, encore une fois, j'ai été séduite par les dessins de Paolo Cossi. Surtout les fonds, les ambiances.
J'aime.
Sinon je n'ai toujours rien lu d'Hugo Pratt, mais ça viendra. À moins que je ne m'invente une expérience de lecture avec Corto Maltese ; son créateur, fan de réalité fictive, n'aurait pu me le reprocher...
Ce qui m'a marqué en premier dans ce volume, c'est la colorisation.
Des planches sont uniquement en bichromie. Nuançant le noir et le rouge, ou le noir et le jaune, ou le noir et le bleu.
D'autres planches s'approche plus d'une colorisation "classique". Et d'autres encore sont en noir et blanc.
Toute ces alternances mettent en évidence les différentes versions de la vie d'Hugo Pratt. On comprend très bien à quel point Paolo Cossi a voulu mettre en évidence le refus de cet homme de n'avoir qu'une seule vie réelle.
"Il s'est inventé une très belle vie et il l'a vécue".
Cette phrase semble très bien résumer celui qu'était cet auteur mystérieux.
Et puis, encore une fois, j'ai été séduite par les dessins de Paolo Cossi. Surtout les fonds, les ambiances.
J'aime.
Sinon je n'ai toujours rien lu d'Hugo Pratt, mais ça viendra. À moins que je ne m'invente une expérience de lecture avec Corto Maltese ; son créateur, fan de réalité fictive, n'aurait pu me le reprocher...
