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Critique de Lunalithe
Dans 1880, et comme la couverture le laisse présager, nous plongeons dans un univers Steampunk. Si j'ai trouvé la typo de titre très repoussante, je me suis toutefois plongée sans a priori dans ce roman jeunesse très dense. En effet, en plus de son épaisseur, les marges sont plutôt étroites, et l'écriture assez petite. Pas de quoi me décourager pour autant, j'en ai maté d'autres des plus coriaces.
En revanche, les nombreuses coquilles ont failli avoir raison de ma patience. Je peux être compréhensive pour beaucoup de choses, surtout sur un premier roman, mais je ne pardonne pas ces manquements, qui me sortent immédiatement de ma lecture. J'ai persisté jusqu'à la fin malgré tout, car je reconnais volontiers un récit assez accrocheur. J'ai déploré par contre ce lien avec Lovecraft - ce n'est qu'un avis personnel, mais chaque année, je lis au moins un ouvrage "qui prend place dans", "en hommage à", "inspiré de" Lovecraft. J'aime Lovecraft. Mais j'aime aussi les univers plus personnels. Mais bon, appelons cela une toquade de ma part.
Toutefois ces deux raisons m'ont poussées à mettre une note assez basse, les rebondissements de l'intrigue n'ayant pas suffit à me dérider. Dommage, car Philippe Cottone a sans doute l'étoffe pour commettre de très bons ouvrages. Peut-être dans une maison d'édition qui sera plus attentive aux finitions. C'est en tout cas tout le mal que je lui souhaite !
En revanche, les nombreuses coquilles ont failli avoir raison de ma patience. Je peux être compréhensive pour beaucoup de choses, surtout sur un premier roman, mais je ne pardonne pas ces manquements, qui me sortent immédiatement de ma lecture. J'ai persisté jusqu'à la fin malgré tout, car je reconnais volontiers un récit assez accrocheur. J'ai déploré par contre ce lien avec Lovecraft - ce n'est qu'un avis personnel, mais chaque année, je lis au moins un ouvrage "qui prend place dans", "en hommage à", "inspiré de" Lovecraft. J'aime Lovecraft. Mais j'aime aussi les univers plus personnels. Mais bon, appelons cela une toquade de ma part.
Toutefois ces deux raisons m'ont poussées à mettre une note assez basse, les rebondissements de l'intrigue n'ayant pas suffit à me dérider. Dommage, car Philippe Cottone a sans doute l'étoffe pour commettre de très bons ouvrages. Peut-être dans une maison d'édition qui sera plus attentive aux finitions. C'est en tout cas tout le mal que je lui souhaite !
