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Critique de fnitter


Troisième tome de la quadrilogie de départ d'une série qui compte à ce jour vingt-huit tomes : L'hérésie d'Horus, dans l'univers Warhammer 40.000. Troisième auteur aussi après Abnett et l'Ascension d'Horus, et McNeill avec Les faux dieux.

Le culte de l'empereur (que ce dernier a pourtant toujours combattu) commence à s'installer depuis « l'exploit » d'Euphrati Keeler. Heureusement, car c'est peut être cela qui permettra de sauver l'empire du Chaos.
Les bonnes âmes comme Loken s'inquiètent de plus en plus de ce qui se passe dans la croisade. Les voix d'opposition sont réduites progressivement au silence.
Horus rassemble les légions et la limite ultime va être franchie... Plus de retour en arrière possible. Les attaques fratricides vont débuter sur Isstvan III. L'unité des Astartes est morte et enterrée avec le déploiement de l'arme ultime : L'attaque virale, si puissante que seul l'Empereur et le maître de guerre peuvent la mettre en oeuvre.

Un troisième opus un peu long à démarrer et un peu plus brouillon que les deux précédents, mais on y trouve ce qu'on y était venu chercher. Les manifestations du Chaos sont encore rares, mais leurs effets sont bien présents et Horus apparaît désormais clairement comme l'ennemi de l'Empereur et au final de l'humanité au nom de laquelle il ose encore dire combattre.

Action et réflexion (euh, niveau Black library hein, pas Nietzsche ou Spinoza) en attendant le tome suivant : La fuite de l'Eisenstein
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