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Critique de Adl
Commençons par le léger bémol : quel dommage que les photographies soient reléguées en fin de livre ! Magnifiques, elles illustrent parfaitement le sujet et égrainées au fil des pages la lecture façon documentaire n'en aurait que gagné.
Mais peu importe, j'ai pris un grand plaisir à me laisser guidée dans ce récit mi -ethnologique, mi- initiatique, flirtant avec l'onirisme.
Le peuple Hopi ? Jamais entendu parler. Après quelques vérifications géographiques d'usage, Tayatitaawa accepte de me faire entrer dans son clan.
Contrairement à ma crainte, le chemin avec cette enfant n'est pas bêtifiant ni béatifiant.
J'ai suivi son père avec elle, puis son frère, sur la route qui la mène à vivre en harmonie et en conscience avec elle-même et les mondes qui l'entourent.
C'est sereine que je me suis perdue avec elle dans les rochers, que je l'ai suivi dans les méandres des histoires de clans, que j'ai écouté et participé aux rites.
Un conte-roman qui apporte plénitude et confiance en soi dans un souffle de liberté que nous avons bien du mal à saisir dans nos sociétés modernes.
Mais peu importe, j'ai pris un grand plaisir à me laisser guidée dans ce récit mi -ethnologique, mi- initiatique, flirtant avec l'onirisme.
Le peuple Hopi ? Jamais entendu parler. Après quelques vérifications géographiques d'usage, Tayatitaawa accepte de me faire entrer dans son clan.
Contrairement à ma crainte, le chemin avec cette enfant n'est pas bêtifiant ni béatifiant.
J'ai suivi son père avec elle, puis son frère, sur la route qui la mène à vivre en harmonie et en conscience avec elle-même et les mondes qui l'entourent.
C'est sereine que je me suis perdue avec elle dans les rochers, que je l'ai suivi dans les méandres des histoires de clans, que j'ai écouté et participé aux rites.
Un conte-roman qui apporte plénitude et confiance en soi dans un souffle de liberté que nous avons bien du mal à saisir dans nos sociétés modernes.
