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Critique de Gaetanbellevue
Les coquelicots du désert d'Ophélie Courtain
Un roman qui colle à la vie de nos trentenaires et pas seulement.
Une écriture qui se cherche non dans le style mais dans la narration de grands moments d'émotion.
Une grande diversité de ton. Des flash-back qui illustrent nos associations d'idées et nos fonctionnements mentaux. Un récit qui transporte avec lui les fêlures des personnages et nous renvoie à nous même.
Une écriture qui rompe avec le bien écrire et l'écrire pour choquer, au bénéfice d'être dans la réalité des personnages à travers une forme d'écriture singulière.
Ophélie Courtain ne sait pas écrire, elle écrit et c'est là sa force et sa faiblesse. Elle navigue sur une mer agitée, garde le cap sans avoir appris la mer, le navire et la météo. Elle traverse du mauvais temps, des tempêtes, croise des percées de soleil et arrive à bon port celui de la littérature.
On pourrait croire qu'elle n'avait pas de gouvernail mais l'ensemble de ce récit montre qu'elle est revenue sans cesse sur l'ouvrage pour garder le cap. Ce qui pourrait nous apparaître maladresse est une forme dans la forme et dans les moi (s) multiples de ses personnages.
Ce livre aurait pu s'appeler « Ambivalence » elle est très présente, ou « Temps de latence » il travers le livre de part en part ou encore « Jeu de miroir » et même « Grands dieux que les humains sont tordus » mais qu'ils sont beaux
.
Une aventure au travers des personnages qui ne nous laisseront pas indifférents. Chacun y reconnaitra une part de lui-même, de sa famille, de ses amis et des méandres de nos vies que nous voudrions tant ne pas voir.
Gaétan Bellevue
Un roman qui colle à la vie de nos trentenaires et pas seulement.
Une écriture qui se cherche non dans le style mais dans la narration de grands moments d'émotion.
Une grande diversité de ton. Des flash-back qui illustrent nos associations d'idées et nos fonctionnements mentaux. Un récit qui transporte avec lui les fêlures des personnages et nous renvoie à nous même.
Une écriture qui rompe avec le bien écrire et l'écrire pour choquer, au bénéfice d'être dans la réalité des personnages à travers une forme d'écriture singulière.
Ophélie Courtain ne sait pas écrire, elle écrit et c'est là sa force et sa faiblesse. Elle navigue sur une mer agitée, garde le cap sans avoir appris la mer, le navire et la météo. Elle traverse du mauvais temps, des tempêtes, croise des percées de soleil et arrive à bon port celui de la littérature.
On pourrait croire qu'elle n'avait pas de gouvernail mais l'ensemble de ce récit montre qu'elle est revenue sans cesse sur l'ouvrage pour garder le cap. Ce qui pourrait nous apparaître maladresse est une forme dans la forme et dans les moi (s) multiples de ses personnages.
Ce livre aurait pu s'appeler « Ambivalence » elle est très présente, ou « Temps de latence » il travers le livre de part en part ou encore « Jeu de miroir » et même « Grands dieux que les humains sont tordus » mais qu'ils sont beaux
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Une aventure au travers des personnages qui ne nous laisseront pas indifférents. Chacun y reconnaitra une part de lui-même, de sa famille, de ses amis et des méandres de nos vies que nous voudrions tant ne pas voir.
Gaétan Bellevue
