Citations sur Le nouveau monde, tome 1 : L'épée du conquistador (21)
Vous ne pouvez pas utiliser une vieille carte pour explorer un nouveau monde.
L’âme des hommes est une parcelle de Dieu et réduire des hommes à esclavage serait de essayer de réduire Dieu.
Les Espagnols ont une maladie de cœur dont l’or est le seul remède.
- Princesse, j… je regrette, mais vous savez bien que je suis moine !
- Vous croyez que je viendrais la nuit pour vous prendre votre vertu ? Je sais bien que je suis la fille d’un sauvage mais quand même !...
La religion n’interdit pas la poésie.
La fierté des maîtres, c’est d’être battus pas leurs élèves !
La persuasion vaut mieux que la violence pour faire de nouveaux chrétiens.
- On ne change pas les choses du jour au lendemain. Parmi les Espagnols et parmi les Aztèques, certains n’ont pas intérêt à ce que la concorde règne.
- Cortes m’a laissé un lourd fardeau. La tâche de rassembler deux civilisations… Croyez-moi, ce n’est pas une mince affaire, mais j’ai l’habitude, j’ai été élevé à Grenade au milieu des Musulmans et des Juifs.
- Ah, mon garçon, vous êtes un cœur simple ! Je me réjouis d’avoir un vrai chrétien à cette table, au milieu de païens qui n’attendent qu’un peu d’indulgence pour retrouver leurs rites démoniaques, d’aventuriers prêts à vendre leur âme pour un peu d’or, et d’un chrétien de fraîche date qui ne parle que de tolérance.
- Notre Seigneur n’a-t-il pas toujours prêcher la tolérance et l’amour de son prochain ?
- Voyez-vous, Frère Marcos, notre évêque aime tant son prochain qu’il n’hésite jamais à lui offrir un repos éternel.