Citations sur J'ai trouvé le bonheur : Il était en moi (15)
Je ne veux plus me faire marcher sur les pieds. Je ne veux plus tout accepter des autres par peur de ne plus être aimée. Je ne veux plus me conformer aux attentes des autres au détriment de mes propres besoins. Je ne veux plus me mentir, faire semblant et me dire que tout va bien alors que je me sens mal.
C’est simple : si tu n’acceptes pas ces émotions qui déferlent, elles finiront par te détruire, comme un tsunami. Elles deviendront de plus en plus fortes, de plus en plus envahissantes, angoissantes… Elles s’ancreront au plus profond de toi… Cela te coûtera de plus en plus d’énergie pour lutter contre elles… Et je ne te cache pas que tu seras très malheureuse… C’est pour cela que lutter est inutile. La seule voie possible, c’est l’acceptation.
Lâcher prise, pour moi, c’est arrêter de s’accrocher à des choses qui n’ont pas d’importance. C’est arrêter de vouloir contrôler des choses qui ne sont pas contrôlables. Et c’est arrêter de fuir un problème quand ce problème se révèle être en nous, et en nous seulement. Comme la plupart des problèmes d’ailleurs. Aller à l’autre bout du monde ne changera rien. Parce que lâcher prise, c’est accepter sa fragilité, sa vulnérabilité, ses émotions, son passé, son manque de confiance en soi. C’est accepter l’incertitude et tenter de vivre quand même, en n’étant jamais certain de rien, sauf de vivre l’instant présent. C’est faire le deuil de tout ce qu’on n’a pas été, de tout ce qu’on n’a pas eu, ou de tout ce qu’on a fait et qu’on n’aurait pas dû…
Juste deux petits conseils si vous devez un jour vous prélasser sur ce type de plage : premièrement, ne mettez pas de vêtements de couleur claire, car le sable noir, d’origine volcanique, est bien plus fin que le blanc ; du coup, il s’incruste dans les mailles des vêtements et il est quasiment impossible de l’enlever (mon maillot blanc n’y a pas survécu).
Deuxièmement (on l’a appris à nos dépens), ne marchez jamais pieds nus dessus ! Le noir absorbe la chaleur et le sable devient tellement chaud qu’on se brûle littéralement les pieds…
Ça demande des efforts, c’est sûr. Et beaucoup d’honnêteté pour faire une introspection constructive. Mais plus tu seras consciente de tes émotions négatives, plus tu seras capable de faire une introspection constructive. Mais plus tu seras consciente de tes émotions négatives, plus tu seras capable de les analyser, plus tu prendras de la distance avec elles, mieux tu les toléreras, et moins tu en seras l’esclave…
Ce n’est pas facile, de lâcher prise, j’en sais quelque chose. Surtout quand tu as les jambes dans le vide, à environ quatre mille mètres du sol…
Son but doit être, d’une certaine manière, d’ÊTRE vraiment elle-même. C’est différent que de « ne penser qu’à soi-même ». Il ne faut pas confondre le lâcher-prise et l’égocentrisme.
Ma vie amoureuse ressemble donc à un mélange de Sex and the City et de Bridget Jones, sans l’aspect pathétique de la fille qui veut absolument se caser.
Mais tous les bons côtés sont là : alcool, coups de cœur et coups d’un soir, amants sexy et exotiques, conversations téléphoniques entre copines, histoires compliquées, glace Ben & Jerry’s à une heure du mat’, hommes charmants et mariés…
Pourtant, contrairement à la plupart des femmes célibataires de mon âge, les hommes ne sont pas vraiment une priorité dans ma vie. Non que je ne les aime pas, mais… ma mère m’a toujours élevée toute seule et on n’a jamais eu besoin
Le lâcher-prise, comme tout changement important et pérenne, n’est pas forcément facile à appliquer, et c’est la raison pour laquelle je vous propose de vous accompagner et de vous guider sur cette voie. Lorsque vous aurez réussi à lâcher prise, cela ne signifiera pas pour autant que vous serez à l’abri des aléas et des épreuves que la vie vous réserve. Vous serez cependant mieux armé pour y
faire face et pourrez développer des stratégies plus constructives que l’évitement, la fuite en avant ou le déni. Vous pourrez ainsi envisager de communiquer plus sereinement, d’affronter ce qui vous fait peur, de relativiser.
L’idée de nous marier est arrivée naturellement, alors que pour ma part, je m’étais toujours juré de ne jamais le faire. Je trouvais ça inutile, et même vaguement pathétique. Mais maintenant je comprends ce que l’on ressent quand on s’engage avec la personne que l’on aime et qui nous aime. Je me rends compte que je ne veux plus mettre de barrière à mon bonheur : j’essaie de vivre à fond tout ce qui se présente.