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Critique de JAF
Ce n'est pas dans mes habitudes d'écrire une critique, exercice que je laisse volontiers à d'autres. Mais pour une fois j'ai une raison de le faire. Un de mes petits enfants m'a offert ce livre en me disant : ON m'a conseillé ce roman, tu me diras ce que tu en penses. Je me suis efforcé de le finir et je te réponds. Ce livre m'a déplu, autant sur la forme que sur le fond.
Sur le fond c'est un polar dans lequel les personnages (des gendarmes, des trafiquants de drogue, des avocats pourris, des chasseurs racistes, un couple mixte et un justicier masqué) se font ou subissent une guerre impitoyable. Les personnages sont convenus et l'intrigue, sans intérêt tant le dénouement est pour l'essentiel prévisible.
Sur la forme, ce polar ressemble plus à un scénario de film qu'à un roman. Et comme il y a beaucoup d'hémoglobine et de torture, il devrait intéresser Quentin Tarantino. Comme tu le sais, je n'ai pas beaucoup d'attrait pour ses films, et tu comprendras donc que j'ai souffert pour arriver au bout. Tu le diras à ON.
Sur le fond c'est un polar dans lequel les personnages (des gendarmes, des trafiquants de drogue, des avocats pourris, des chasseurs racistes, un couple mixte et un justicier masqué) se font ou subissent une guerre impitoyable. Les personnages sont convenus et l'intrigue, sans intérêt tant le dénouement est pour l'essentiel prévisible.
Sur la forme, ce polar ressemble plus à un scénario de film qu'à un roman. Et comme il y a beaucoup d'hémoglobine et de torture, il devrait intéresser Quentin Tarantino. Comme tu le sais, je n'ai pas beaucoup d'attrait pour ses films, et tu comprendras donc que j'ai souffert pour arriver au bout. Tu le diras à ON.
