Quand
Benjamin Flao illustre le scénario de
Dabitch, nous sommes projetés par les tons clairs sous le soleil brulant de Séville, divaguant dans les quartiers gitans au son des flamencos lancinants. Il sait retranscrire les moments forts et aussi les attentes désargentées, les plans foireux, les codes d'honneur gitans, le rapport omniprésent avec la mort. Et quand tout va mal, la voix du chant retentit plus forte, dramatique.
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