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Critique de bdelhausse
Billy vit en bordure de la forêt. Sa mère l'a mis en garde. Ne va pas dans la forêt. Elle est peuplée de monstres les plus horribles et affamés les uns que les autres.
Que fait donc Billy? Il désobéit, bien sûr. A croire que les mamans ne le savent pas...
Dans la forêt, Billy est poursuivi par un énorme monstre dont on ne voit que le panache de fumée qui lui sort des naseaux. Mais cela fait vachement peur déjà... Billy trouve refuge dans un arbre. Il y fait la rencontre des Minuscules, un peuple ... minuscule... d'où le titre.
Billy se fait faire un petit tour du propriétaire puis il va essayer d'échapper au monstre en montant sur le plus grand cygne de la forêt. Car les Minuscules parlent aux oiseaux. le monde est vachement bien fait, dites donc !
Clairement on est dans du Roald Dahl d'assez médiocre qualité. Mention up pour les dessins de Quentin Blake (que je connaissais sur d'autres oeuvres). Candides et efficaces, ils apportent un réel plus à l'ensemble du roman. Car il y a un clair sentiment de "trop peu" dans ce roman. Tout reste assez superficiel et rapide, ce qui dénote par rapport à ce que je connais de l'auteur. Ce roman déploie (ce n'est qu'une opinion personnelle) une franche odeur d'inachevé, d'inabouti, d'oeuvre qui aurait pu/dû être réécrite et peaufinée par Dahl (qui a eu la mauvaise idée de mourir à ce moment-là, le roman étant publié à titre posthume).
Que fait donc Billy? Il désobéit, bien sûr. A croire que les mamans ne le savent pas...
Dans la forêt, Billy est poursuivi par un énorme monstre dont on ne voit que le panache de fumée qui lui sort des naseaux. Mais cela fait vachement peur déjà... Billy trouve refuge dans un arbre. Il y fait la rencontre des Minuscules, un peuple ... minuscule... d'où le titre.
Billy se fait faire un petit tour du propriétaire puis il va essayer d'échapper au monstre en montant sur le plus grand cygne de la forêt. Car les Minuscules parlent aux oiseaux. le monde est vachement bien fait, dites donc !
Clairement on est dans du Roald Dahl d'assez médiocre qualité. Mention up pour les dessins de Quentin Blake (que je connaissais sur d'autres oeuvres). Candides et efficaces, ils apportent un réel plus à l'ensemble du roman. Car il y a un clair sentiment de "trop peu" dans ce roman. Tout reste assez superficiel et rapide, ce qui dénote par rapport à ce que je connais de l'auteur. Ce roman déploie (ce n'est qu'une opinion personnelle) une franche odeur d'inachevé, d'inabouti, d'oeuvre qui aurait pu/dû être réécrite et peaufinée par Dahl (qui a eu la mauvaise idée de mourir à ce moment-là, le roman étant publié à titre posthume).
