Un aller-retour en train sur 2 heures et quelques, une envie de se vider la tête d'un livre difficile, et hop un
San Antonio : ça a franchement vielli et l'humour sexiste est roi. Il n'empèche que le style reste inimitable et l'histoire totalement invraissemblable, avec toujours au moins un passage où je ris aux larmes ! donc je continue. Celui la ne déroge pas à la règles et cette histoire Nippo-franchouillarde est à la hauteur des autres opus de
Frédéric DardCommenter  J’apprécie         30