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Critique de domisylzen


1942. Les allemands occupent Paris. San-Antonio s'est mis au vert, pas envie de collaborer avec le gouvernement en place. Pour passer le temps, il lit des polars et taquine le goujon. Mais sa retraite l'ennui, se laisserait bien tenter par un p'tit verre du côté de République. C'est en s'y rendant un métro qu'il est victime d'une rafale de pistolet en pleine bidoche. A l'hosto, la poitrine de l'infirmière Gisèle le remettra d'aplomb et il ne pourra pas résister à lui conter fleurette. Chez elle, il apprendra par la radio que le commissaire San-Antonio vient d'être retrouvé mort criblé de balles.
Deuxième de la série, pas encore de Pinaud et de Béru, seule sa maman, Félicie est en place, dans ce tome le commissaire évolue seul, enfin pour cette fois il ne peut résister à la demande pressante de Gisèle de l'accompagner. Un nain boxeur, une arme secrète, un saxophone qui joue en morse : l'imagination de Frédéric Dard et sans limite et nous entraîne dans une enquête riche en aventures, en événements et en suspense. Aucune lassitude au cours de la lecture de ce polar au langage argotique et qui engueule parfois le lecteur : " Noix comme vous êtes, vous lisez ce que j'écris comme vous liriez votre déclaration d'impôts."
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