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Critique de lecassin


Berthe à disparu ! Alexandre-Benoit est aux cent coups…Et que dire du merlan, Alfred ?

En fait, la « chère et tendre » de Béru n'a pas reparu au domicile conjugal depuis deux jours. Elle était partie acheter du tissu chez Corot, aux Champs Elysées ; depuis, silence radio, et nos deux sbires qui se partagent l'un comme officiel et l'autre comme amant, les charmes (si l'on peut dire) de Berthe sont morts d'inquiétude… et demandent de l'aide à San-Antonio…Qui croit plutôt à une fugue crapuleuse qu'à un enlèvement.
Elle réapparaît et se dit victime d'un enlèvement, justement ; San-A. incrédule. Incrédule jusqu'à la lecture des journaux du matin qui annoncent l'enlèvement de la femme d'un « businessmann amerlock »… Un sosie de Berthe…

C'est la première fois que Berthe Bérurier (initiales B.B.) apparaît avec un rôle important dans l'intrigue. Certes on l'avait déjà rencontrée dans « En long, en large et en travers » quand elle venait se plaindre au commissaire que son mari, Alexandre Benoit Bérurier, dit Béru, avait disparu. Tiens donc !

« On t'enverra du monde », un bon San-Antonio, même si le style est plutôt celui d'un Frédéric Dard : pas de notes en bas de page, pas de digressions et énumérations surréalistes… juste les noms de lieux et de personnes façon calembour. Et puis Berthe qui use du subjonctif imparfait, pas toujours à bon escient…
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