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Critique de JML38


En début de récit, San-Antonio qui a réussi à abréger les vacances chez tatan Rose, s'apprête à faire les honneurs de son sweet home à sa dernière conquête rencontrée dans le train, lorsque son téléphone sonne nuitamment. Au bout du fil Achille, son Big Boss, qui le prie de foncer instamment chez son ami Petit-Littré, éditeur de son état, où une partie des invités se trouve en petite forme. le commissaire découvre un tableau tragi-comique, toutes les personnes ayant bu du whisky après le repas étant sous l'emprise d'une drogue. Chargé par son chef de remonter la piste du trafic, San-Antonio, un cadavre plus tard et après avoir récupéré le fidèle Béru en villégiature à Nanterre, prend la direction de Glasgow. Ville qui, chacun le sait dans la famille du Gros, se trouve au Japon, voire encore plus loin, au Danemark.

Les bouteilles incriminées étant de la marque Mac Herrel, le duo de choc se rend dans le village de Mybackside-Ischicken, siège de la distillerie, avec l'idée de s'inviter au Castle des propriétaires, pour découvrir le poteau rose. Ce qui ne pose pas vraiment de problèmes lorsque l'on connaît l'imagination des deux policiers, si ce n'est que l'idée de faire passer Béru pour le domestique de Sana rencontre ses limites lorsqu'il est sollicité pour aider au service lors d'un repas.

Rapidement tous les membres de la famille font partie des suspects potentiels, la vieille Mac Herrel, la sublime nièce Cynthia – non, y a pas de jeu de mots -, son fiancé Sir Concy, Mac Hornish le responsable de la distillerie, et James Mayburn, le majordome, à qui Béru répond naïvement lors des présentations : « Je ne déteste pas non plus les miennes ».

Tout est en place pour un bon moment d'action et de grosse poilade, et c'est également l'occasion découvrir un peu mieux l'Écosse. de vérifier que la plupart des habitants s'appellent Mac-Quelque-Chose - ce qui permet à Frédéric dard de bien se faire plaisir -, de s'apercevoir que la spécialité liquide locale peut avoir des effets stupéfiants et avoir parfois beaucoup de corps, de constater que la pêche, dont Béru devient un grand adepte, peut réserver quelques surprises lorsqu'elle est pratiquée dans un loch, Ness ou pas.

Je ne peux résister au plaisir de citer un personnage qui n'a aucun rôle majeur, mais alors vraiment aucun, dans l'histoire : Sir Constence Haggravente. Je sais, j'ai des joies simples.
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