Dans un dialogue avec un fils imaginaire,
Erri de Luca semble vouloir lancer le dé pour la dernière fois...Fidèle à ses convictions, il fait le bilan de son parcours de citoyen engagé et d'écrivain, s'interroge sur sa non-croyance en un dieu créateur et rend hommage à ses parents, leur langue ( l'italien et le napolitain) et sa ville de naissance , Naples.
Dans une langue limpide qui donne envie de noter -et retenir- chaque réflexion.
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