À dire vrai, je n'ai pas adhéré à cet essai. Souvent confus, on a souvent que le récit n'est pas ordonné, ce qui fait que nous nous y sentons quelquefois perdus. Je trouve ça regrettable car l'idée d'origine était passionnante. Or, c'est à travers une argumentation illustrée de clichés (la main sur le coeur du Président de la République, le format des séries ou encore les nombreux anglicismes qui composent désormais notre language) que
Régis Debray nous brosse la dérive de notre civilisation vers une civilisation dominée par la toute puissance des États-Unis. Quelques bémols toutefois comme cette mise en parallèle avec les civilisations disparues ou la conclusion de cet essai qui nous fait savoir que les civilisations ne meurent pas mais ce transmettent à travers une autre qui reprend le flambeau.
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