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Critique de Oktor
Julia Deck a bien le droit de s'amuser, de décrire au lecteur la farce sociale où se mélangeraient des gens qui n'ont rien en commun. Ainsi des châtelains stars en souci de reconnaissance publique, des gilets jaunes de banlieue, en « manque de considération », des personnages à clés dont on donne ou cache les noms, invitant le lecteur à faire des rapprochements dignes des magazines à grands tirages qui raffolent de ragots réels ou fictifs.
Dans ces magazines, les titres sont dramatiques, et accrocheurs à souhait, les personnages « dévastés » par des chagrins « immenses » etc. Chez Julia Deck le ton se veut ironique, « caricatural » et « dévastateur », brasse des intrigues aussi « cruelles qu'improbables » Bref, c'est « jubilatoire » comme le disent trop souvent des critiques initiés – et bienveillants.
Personnellement j'abandonne la lecture à mi-chemin car je m'ennuie à lire ces passages »brillants » et « féroces », cette « verve» qui « n'épargne rien ni personne ».
Bonne lecture, à ceux qui raffolent de ces divertissements littéraires « de haut vol », « Monument National » paru aux éditions de Minuit (quand même !).
Dans ces magazines, les titres sont dramatiques, et accrocheurs à souhait, les personnages « dévastés » par des chagrins « immenses » etc. Chez Julia Deck le ton se veut ironique, « caricatural » et « dévastateur », brasse des intrigues aussi « cruelles qu'improbables » Bref, c'est « jubilatoire » comme le disent trop souvent des critiques initiés – et bienveillants.
Personnellement j'abandonne la lecture à mi-chemin car je m'ennuie à lire ces passages »brillants » et « féroces », cette « verve» qui « n'épargne rien ni personne ».
Bonne lecture, à ceux qui raffolent de ces divertissements littéraires « de haut vol », « Monument National » paru aux éditions de Minuit (quand même !).
