Le lecteur retrouve à nouveau Nicholas Newman aux prises avec d'anciens nazis. Comme dans l'opus précédent, les choses ne sont ni très claires ni très convaincantes. le personnage principal reste aussi peu sympathique.
Je dois avouer, cependant, avoir été particulièrement touchée par deux chapitres, les numéros 17 et 18, qui sont à la limite du soutenable: Nicholas y parcourt les rues d'Oradour sur Glane avec Anthony, le neveu de son ami assassiné, et sa compagne Claire. Tous deux lui racontent ce qu'il s'y est passé le 10 Juin 1944. La puissance évocatrice est terrible. Je ferais donc la même critique que pour "
Les enfants de la nuit", il y avait là matière à faire un excellent roman, mais ce n'est pas le cas. Ni le style ni l'action ne m'ont passionnée. Dommage!
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