"Frank Delanney nous offre un des romans les plus puissant qu'il nous ait été donné à lire" prétend The Times. "Un livre qu'on oubliera jamais"
Faites l'expérience Delanney traduit par un camionneur (bon sang de bonsoir...)sans aucun scrupule , enfile des perles pendant plus de 500 pages et c'est à mourir de rire tellement c'est bête.
A lire absolument au troisième degré, pour les bourdes incroyables, le scénario mal ficelé et le héros particulièrement insupportable, architecte précieux et ridicule.
Comment en arrive-t-on à publier et traduire de pareilles sottises. Mystère.
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. Ce roman reprend de vieilles antiennes, avec cette hantise cultivée de la violence des nazis et de leur survie bien cachée grâce à la complicité des pays vainqueurs intéressés par leurs compétences ou leurs secrets. C'est un roman d'initiation où le héros ouvre tardivement les yeux sur le monde réel et sur lui-même. Newman n'est vraiment pas sympathique, il est banal en fait, et confortablement calfeutré dans sa vie d'architecte à succès. Sa découverte du massacre d'Oradour est présentée comme une expérience existentielle décisive, mais en dépit des efforts de l'auteur pour camper son bouleversement, je n'ai pu y croire. J'avoue préférer sur cette trame un vieux film remarquable, Marathon Man, de Schlesinger, avec Dustin Hoffman.1,5/2
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Une plaie. Bavard, superficiel, mal ficelé. A fuir.
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