On m'avait déjà offert
Chroniques birmanes et surtout
le guide du mauvais père. Je retrouve ici le sens de l'observation et l'ironie de ce génie de l'autocritique, dont le dessin faussement simple s'adapte aussi bien aux personnes qu'aux machines monstrueuses. Son personnage étonné, dont le nez est toujours de profil mais dont on voit généralement les deux yeux, est une marque de fabrique aussi caractéristique qu'un hiéroglyphe de la haute époque.
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