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Critique de Mamzellegazelle
*** La belle blonde***
Mylène Demongeot je l'ai connu dans la saga Fantomas, la fiancée de Fandor.
Une jolie blonde, toute pétillante qui respire la sympathie.
Ma génération, n'a pas été forcément bercée par elle cinématographiquement parlant, mais j'ai à nouveau entendu parler d'elle lors de ses interventions afin de sauver les animaux maltraités.
Ici, dans son autobiographie, Mes monstres sacrés, elle revient sur ses rencontres masculines : au cinéma, par hasard, amicales et amoureuses avec des anecdotes tantôt croustillantes, dramatiques ou ... violentes, par la gente masculine des années 50' - 60' - 70' ...
De Bernard Blier, odieux avec elle à l'excentrique Dali, en passant par Delon, Jean Marais et tous les autres, chaque chapitre fait référence à un personnage connu.
Le livre est documenté de belles photos.
Un plongeon dans le théâtre et le cinéma des années où les plus grands voyaient d'un mauvais oeil arriver de petits nouveaux et surtout d'une petite blonde pétillante qui crevait l'écran et / ou la scène théâtrale.
Un bon moment de lecture qui fait souvent sourire !
Mylène Demongeot je l'ai connu dans la saga Fantomas, la fiancée de Fandor.
Une jolie blonde, toute pétillante qui respire la sympathie.
Ma génération, n'a pas été forcément bercée par elle cinématographiquement parlant, mais j'ai à nouveau entendu parler d'elle lors de ses interventions afin de sauver les animaux maltraités.
Ici, dans son autobiographie, Mes monstres sacrés, elle revient sur ses rencontres masculines : au cinéma, par hasard, amicales et amoureuses avec des anecdotes tantôt croustillantes, dramatiques ou ... violentes, par la gente masculine des années 50' - 60' - 70' ...
De Bernard Blier, odieux avec elle à l'excentrique Dali, en passant par Delon, Jean Marais et tous les autres, chaque chapitre fait référence à un personnage connu.
Le livre est documenté de belles photos.
Un plongeon dans le théâtre et le cinéma des années où les plus grands voyaient d'un mauvais oeil arriver de petits nouveaux et surtout d'une petite blonde pétillante qui crevait l'écran et / ou la scène théâtrale.
Un bon moment de lecture qui fait souvent sourire !
