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Critique de RomansNoirsEtPlus
Après “L'Oubliée”, on retrouve le gendarme Maxime Monceau - le personnage principal de ce récit - qui vient de quitter la Brigade de Recherche d'Annecy pour la Section de recherches de Chambéry. Un changement pas forcément simple pour l'adjudant-chef qui ne connaît personne dans cette nouvelle entité. le nouveau duo qu'il va constituer avec le major Porazzi est plutôt étonnant : d'un côté Maxime qui représente la nouvelle génération de militaires formée aux techniques d'investigations modernes comme le langage non verbal , de l'autre Porazzi vieux briscard de la gendarmerie aux méthodes plus classiques qui a pour habitude de coller à tous ses collègues des surnoms. Ce sera Batman pour Maxime.
L'équipe va vite être confrontée à un meutre particulièrement sordide, dont la mise en scène va rappeler à Maxime de très mauvais souvenirs dont il devra malgré tout faire fit s'il souhaite mettre fin à ce cauchemar qui ne fait que commencer.
Toujours aussi efficace dans ses scénarios comme dans sa prose, l'auteur d'origine savoyarde nous entraîne dans une spirale infernale clôturant un cycle. Un cycle de mort et de folie.
Maxime est en effet un survivant, celui qui a osé briser le cercle de l'envoûtement. Et gare aux traîtres qui osent renier leur famille de coeur et d'esprit quitte à utiliser des subterfuges pour faire rentrer l'infidèle au bercail . Ce troisième opus clôt le chapitre en beauté même si j'ai pris le train en marche de mon côté.
La tension ne retombe pas tout au long du récit car comme le principal protagoniste qui ressent les événements plus qu'il ne les découvre factuellement, le lecteur vit au gré des nombreux rebondissements , découvrant au fil des pages ce que signifie réellement l'emprise psychologique quand elle est poussée à son paroxysme. Quant au final, il m'a comme souvent, pris par surprise , et n'est-ce pas finalement l'essentiel ?
L'équipe va vite être confrontée à un meutre particulièrement sordide, dont la mise en scène va rappeler à Maxime de très mauvais souvenirs dont il devra malgré tout faire fit s'il souhaite mettre fin à ce cauchemar qui ne fait que commencer.
Toujours aussi efficace dans ses scénarios comme dans sa prose, l'auteur d'origine savoyarde nous entraîne dans une spirale infernale clôturant un cycle. Un cycle de mort et de folie.
Maxime est en effet un survivant, celui qui a osé briser le cercle de l'envoûtement. Et gare aux traîtres qui osent renier leur famille de coeur et d'esprit quitte à utiliser des subterfuges pour faire rentrer l'infidèle au bercail . Ce troisième opus clôt le chapitre en beauté même si j'ai pris le train en marche de mon côté.
La tension ne retombe pas tout au long du récit car comme le principal protagoniste qui ressent les événements plus qu'il ne les découvre factuellement, le lecteur vit au gré des nombreux rebondissements , découvrant au fil des pages ce que signifie réellement l'emprise psychologique quand elle est poussée à son paroxysme. Quant au final, il m'a comme souvent, pris par surprise , et n'est-ce pas finalement l'essentiel ?
