Quand on me commande de tuer, alors je tue. Car ma mission ne peut connaître d’autre issue que la victoire. Si on m’ordonne de mourir, alors j’offrirai ma vie. Car l’intérêt de la communauté prévaut sur toute considération personnelle. Et si le malheur voulait que l’ennemi me capture, alors aussi je mourrai, car la pire des morts se nomme Trahison, tandis que le sacrifice inspire le plus grand des respects.
Le sommet du pouvoir rend les lois malléables. La tolérance zéro ne s’applique qu’au peuple. Aux petites gens. Aux faibles !
« Car la pire des morts se nomme Trahison, tandis que le sacrifice inspire le plus grand des respects. »