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Critique de bdelhausse
Les Golden Dogs, cette bande de 4 criminels aux talents divers qui a écumé Londres en si peu de temps, se disloquent. Ils sont pourchassés, et l'incertitude règne. Que sont-ils devenus?
Qui a balancé ses compagnons? Voilà la question...
Le lecteur suit les pas (et les fesses) de Fanny , vers Paris, puis le Mexique. Mais Orwood reste présent dans ses pensées. Et elle finit, malgré le danger, par rentrer à Londres. L'espor de retrouver ses compagnons est mince. Mais Fanny, poussée par une force irrépressible, y croit. Elle sait qu'elle va aussi retrouver le juge Aaron, impitoyable et machiavélique.
Orwood qui donne son nom au tome est omniprésent dans les pensées de Fanny, mais quasi totalement absent des dessins.
Le tome se termine sur un hang-over insoutenable, renforcé par le regard apeuré de Fanny. de la belle ouvrage...
Cependant, au-delà des dessins de seins et de fesses, parties charnues fort bien rendues par Griffo, on est loin d'avoir son compte au niveau du scénario. On a l'impression, comme dans d'autres BD et dans quelques séries télé, que le scénariste se concentre sur les dernières pages, afin de donner au lecteur ce petiti sursaut qui va l'amener à avoir envie de lire la suite.
Beaucoup de remplissage, donc. Une histoire sans réelle surprise. Cela se lit sans réfléchir.
Qui a balancé ses compagnons? Voilà la question...
Le lecteur suit les pas (et les fesses) de Fanny , vers Paris, puis le Mexique. Mais Orwood reste présent dans ses pensées. Et elle finit, malgré le danger, par rentrer à Londres. L'espor de retrouver ses compagnons est mince. Mais Fanny, poussée par une force irrépressible, y croit. Elle sait qu'elle va aussi retrouver le juge Aaron, impitoyable et machiavélique.
Orwood qui donne son nom au tome est omniprésent dans les pensées de Fanny, mais quasi totalement absent des dessins.
Le tome se termine sur un hang-over insoutenable, renforcé par le regard apeuré de Fanny. de la belle ouvrage...
Cependant, au-delà des dessins de seins et de fesses, parties charnues fort bien rendues par Griffo, on est loin d'avoir son compte au niveau du scénario. On a l'impression, comme dans d'autres BD et dans quelques séries télé, que le scénariste se concentre sur les dernières pages, afin de donner au lecteur ce petiti sursaut qui va l'amener à avoir envie de lire la suite.
Beaucoup de remplissage, donc. Une histoire sans réelle surprise. Cela se lit sans réfléchir.
