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Critique de Diabolau


Tous les espoirs de confondre Trebaldi avec la Croix de Pierre ayant disparu avec la Croix elle-même, revoici notre Scorpion au point de départ... Rome.
Mais en quelques semaines, le nouveau pape a radicalement changé l'ambiance : désormais, ce sont persécutions et bûchers qui rythment le quotidien des malheureux habitants de la cité millénaire.
En même temps que le lieu, on retrouve également les trépidations des premiers tomes avec moult combats à la rapière et courses poursuites effrénées, ce qui n'est pas pour déplaire tant Marini est à l'aise là-dessus (comme un peu sur tout le reste d'ailleurs : la série repose grandement sur le talent de Marini, il faut bien le dire).
On va aussi découvrir, comme le nom de l'album l'indique, qui semble être le vrai père de Scorpion. Bon, on ne peut pas dire qu'on ne s'en doutait pas un peu tant l'hypothèse précédente semblait grosse.
Ce tome est donc très réussi par rapport aux précédents. le scénario n'est toujours pas d'une originalité mirobolante, mais il redevient beaucoup moins convenu.
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