Robert Desnos, « amant de la liberté, militant de l'amour absolu, résistant qui haïssait la guerre », grand poète issu du surréalisme, a été arrêté et déporté; il est mort dans un camp de concentration en 1945. Il a écrit des vers qui rivalisent souvent de beauté avec ceux d'
Aragon et
Eluard. Ce recueil posthume comporte 123 poésies écrites quotidiennement, pour l'essentiel pendant l'année 1936. J'y ai découvert sa fantaisie, son humour, son lyrisme et parfois son goût de la provocation. J'ai bien aimé. Je mets deux extraits en citation sur Babelio.
Commenter  J’apprécie         100