Boum. Après la Théorie de King-Kong, re-claque! Impériale et sans concession aucune l'auteure nous transporte dans son univers noir, sans pitié, glauque au possible. Univers déjanté, arpenté par des anti-héros féminines, crades, alcoolos, mi-putes, mi-camées.
Si les mecs pensaient à avoir le monopole de l'obsession du cul, c'est manqué. Les héroïnes de
Virginie Despentes sont totalement décomplexées, alcooliques, vulgaires, féministes au possible et malgré tout attirantes de liberté et de sincérité.
Vivement le prochain qui ne devrait pas tarder, j'adore cette auteure, elle me fait beaucoup penser à
Bukowski dans son approche à l'écriture. Écorchée vive.
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