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Critique de pgeorges
David di Nota mène dans cet ouvrage une véritable contre-enquête sur l'assassinat de Samuel Paty, le rapport officiel ayant largement fait porter la responsabilité sur le professeur.
Des le début de son ouvrage, l'auteur rappelle l'article 1 de la loi pour une école de la confiance (loi promulguée le 26 juillet 2019) qui stipule que « L'engagement et l'exemplarité des personnels de l'Éducation nationale confortent leur autorité dans la classe et l'établissement et contri buent au lien de confiance qui doit unir les élèves et leur famille au service public de l'éducation. » L'article précise que ce lien « implique également le respect des élèves et de leurs familles à l'égard de l'institution scolaire et de l'ensemble de ses personnels».
Tout est dit : l'école conçue comme un partenariat, dont le professeur ne peut sortir gagnant. La transmission du savoir est conditionnée à l'exemplarité du professeur, ce dernier étant placé sous le regard potentiellement accusateur de l'élève. le ver est dans le fruit. !
Si on y ajoute le « pas de vague », l'absence de soutien aux professeurs, l'auteur nous fait comprendre l'enchaînement des évènements qui ont amené à la mort du professeur Paty.
On sort de là sans voix et une grosse colère contre l'administration et nos dirigeants.
Des le début de son ouvrage, l'auteur rappelle l'article 1 de la loi pour une école de la confiance (loi promulguée le 26 juillet 2019) qui stipule que « L'engagement et l'exemplarité des personnels de l'Éducation nationale confortent leur autorité dans la classe et l'établissement et contri buent au lien de confiance qui doit unir les élèves et leur famille au service public de l'éducation. » L'article précise que ce lien « implique également le respect des élèves et de leurs familles à l'égard de l'institution scolaire et de l'ensemble de ses personnels».
Tout est dit : l'école conçue comme un partenariat, dont le professeur ne peut sortir gagnant. La transmission du savoir est conditionnée à l'exemplarité du professeur, ce dernier étant placé sous le regard potentiellement accusateur de l'élève. le ver est dans le fruit. !
Si on y ajoute le « pas de vague », l'absence de soutien aux professeurs, l'auteur nous fait comprendre l'enchaînement des évènements qui ont amené à la mort du professeur Paty.
On sort de là sans voix et une grosse colère contre l'administration et nos dirigeants.
