C' est un livre agréable à lire, et qui dans le contexte actuel "du politiquement correct", vient nous rappeler les batailles qu'ont du mener les philosophes et autres personnes "éclairées" pour passer outre la censure des pouvoirs en place et exprimer leur liberté de pensée et d'expression.
Rapportée par la jeune Félicité venue de Langres pour aider
Diderot en tant que copiste, la bataille des encyclopédistes nous apparait longue, ardue et semée d'embûches .Sous son regard de jeune provinciale, j'ai découvert un
Diderot aussi déterminé dans sa difficile entreprise, que sensible dans ses rapports humains.
Le livre se termine par le retour de Félicité à Langres, mais pour ma part j'aurais bien aimé savoir ce que cette expérience lui a apporté dans sa vie future.A t-elle vécu jusqu'à la révolution, y a t-elle pris part d'une manière ou d'une autre......mystère. La porte s'est entr'ouverte et donne envie de l'ouvrir en grand.
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