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Critique de Costes93
Michel Béjart vit avec son fils handicapé Hadrien et gère la fondation Ange pour aider des parents à adopter des enfants. Mais si ce secteur d'activité attire Michel, c'est parce que lui et son fils ont vécu un néonaticide : la femme de Michel a tué et congelé deux de ses enfants. Mais un jour, des nouveaux-nés sont enlevés et le point commun est que les parents sont passés par la fondation de Michel. La commissaire Jeanne Muller va enquêter sur ses étranges disparitions.
Je ne connaissais pas l'auteur et je l'ai lu par curiosité car j'avais vu qu'il avait été nominé par le prix Babelio polar de 2022. Chaque chapitre fait parler un personnage et on s'embrouille rapidement au début puisqu'on suit deux couples, Michel, Samia et la commissaire. Lors du dénouement, on comprend en quoi tous ces personnages sont liés les uns aux autres.
J'ai trouvé cette lecture sans plus. C'est assez lent, surtout ces histoires imbriquées dans des histoires, on a l'impression que ça n'en finit pas. Jeanne est une commissaire très humaine, même si pas très pro. Son plus gros défaut ? Citer des proverbes constamment. Elle va voir des parents dont l'enfant à été enlevé et elle leur cite un proverbe stupide. Et c'est comme ça tout le temps, j'ai trouvé ce style tout à fait insupportable. Heureusement, elle finit par s'en rendre compte à un moment et elle dit elle-même à Jennifer (il me semble) de laissez tomber et que c'était idiot de sortir des proverbes. La maxime en question était un truc du genre "il vaut mieux aller en prison en ayant avoué que d'être libre mais en se sentant coupable". C'est d'un ridicule ... J'ai trouvé que l'effet "horreur et famille de fous" était franchement raté. A force de vouloir en mettre des couches, on n'y croit pas un seul instant !
Je n'ai pas non plus compris à quoi servait la poupée Reborn alors qu'on en parle constamment.
Bref, je n'ai pas du tout été convaincue par cet auteur, sans même parler du twist final, complètement abracadabrant.
Je ne connaissais pas l'auteur et je l'ai lu par curiosité car j'avais vu qu'il avait été nominé par le prix Babelio polar de 2022. Chaque chapitre fait parler un personnage et on s'embrouille rapidement au début puisqu'on suit deux couples, Michel, Samia et la commissaire. Lors du dénouement, on comprend en quoi tous ces personnages sont liés les uns aux autres.
J'ai trouvé cette lecture sans plus. C'est assez lent, surtout ces histoires imbriquées dans des histoires, on a l'impression que ça n'en finit pas. Jeanne est une commissaire très humaine, même si pas très pro. Son plus gros défaut ? Citer des proverbes constamment. Elle va voir des parents dont l'enfant à été enlevé et elle leur cite un proverbe stupide. Et c'est comme ça tout le temps, j'ai trouvé ce style tout à fait insupportable. Heureusement, elle finit par s'en rendre compte à un moment et elle dit elle-même à Jennifer (il me semble) de laissez tomber et que c'était idiot de sortir des proverbes. La maxime en question était un truc du genre "il vaut mieux aller en prison en ayant avoué que d'être libre mais en se sentant coupable". C'est d'un ridicule ... J'ai trouvé que l'effet "horreur et famille de fous" était franchement raté. A force de vouloir en mettre des couches, on n'y croit pas un seul instant !
Je n'ai pas non plus compris à quoi servait la poupée Reborn alors qu'on en parle constamment.
Bref, je n'ai pas du tout été convaincue par cet auteur, sans même parler du twist final, complètement abracadabrant.
