Florence y croyait dur comme fer à cette promesse de Paul Eluard: "Il n'y a pas de hasards, il n'y a que des rendez- vous."
Nos rêves de comédies, ainsi que notre passion commune pour la bière et les cacahuètes, nous avaient réunis au Bar du coin où nous épuisions nos dernières heures adolescentes à refaire le monde, avant le grand saut, les folles amours, les beaux espoirs, les chagrins et les bonheurs de nos futures vies d'adulte.
Un secret ce n’est pas quelque chose qui ne se raconte pas. Mais c’est une chose qu’on se raconte à voix basse et séparément.
Comme c'est impudique la mort! Elle ouvre grand les portes et les tiroirs à ceux qui restent. Ils peuvent venir y fouiller à leur guise.
Comme c’est impudique la mort ! Elle ouvre grand les portes et les tiroirs à ceux qui restent. Ils peuvent venir y fouiller à leur guise.
Quand elle était vraiment fâchée, elle l’appelait “Pascal”, alors pour l’exaspérer parce qu’il fallait bien qu’il se venge aussi, il prenait un air de chien battu et il l’affublait de ce petit surnom ridicule : “Momone”. Ces jours-là, elle le détestait. Bref, ils étaient heureux.
Son histoire était partie sur des bases bancales...Elle pensait que tout était fragile et précieux. Il suffisait de suivre la bonne étoile. Elle croyait au flair, aux hasards.
. Il pensait avoir compris une chose sur la vie : le bonheur ne se goûte que par petites tranches.
Tu ne crois pas que tu devrais arrêter tes caprices ? Tu veux tout à la fois. Si tu ne choisis pas, la vie s’en chargera pour toi.
Il croyait que la justice s’arrache par la force et que le bonheur se réclame à grands cris.