La misère véritable, ce n’est jamais la pauvreté, c’est celle d’un cœur désert.
Pourquoi dit-on de l’enfance qu’il s’agit d’une période heureuse, insouciante et légère ? Pour certains, c’est un supplice que seul le fait de grandir et de partir peut interrompre. S’ils ne succombent pas avant.
Quand on ne possède rien, on peut bâtir un savoir, personne ne nous l’arrachera. Quand on ne comprend plus ni soi-même si les siens, on peut garder espoir en tentant de comprendre le monde.
Célébrer, c'était accorder une valeur aux choses, aux êtres, c'était se réjouir d'être en vie.
Les mots, l’écoute, la gentillesse, au bon moment, ils peuvent sauver. Ce sont des ronds dans l’eau, le bien peut se propager au loin. Chaque personne que nous rencontrons dans notre vie est unique et peut nous enseigner quelque chose, ne l'oublie jamais.
La misère véritable, ce n’est jamais la pauvreté, c’est celle d’un cœur désert.
Qu'il est facile de juger les mères dans un univers de pères partis!
Faudrait-il que j'écrive un livre sur toi pour me sentir moins coupable ? Coupable de quoi ? Écrire sur le chemin entre la colère et le pardon ? Écrire sur cette curieuse inversion des postures, entre l'enfant securable et le parent vulnérable, ne serait-ce pas la reconduire ? Prétendre que j'en suis revenu ne signifie pas l'inverse ?
J’évapore le sang de ce diable familier, je ne garde que ton âme à toi, une aube qui s’en cesse revient.
On n'aime pas à la façon dont on a été aimé. On aime "avec" cette façon-là.