Saint-Malo, août 1944. Marie-Laure et Werner attendent le cessez-le-feu pour quitter les décombres qui les entourent.
C'est ainsi que débute cette grande fresque qui va prendre son apogée dans le contexte de la Seconde Guerre mondiale.
Beaux personnages, belles descriptions, rythme apparemment tranquille mais inexorable, le roman nous promène au son d'une certaine poésie et surtout d'une grande humanité à travers cette période de douleur et de mort.
On y écoute de la musique, on relit
Jules Vernes et on se prend d'affection pour ces deux enfants qui se débrouillent comme ils peuvent à travers les circonstances.
Un beau roman.
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