Un hommage à
Anne Dufourmantelle, psychanalyste de talent morte l'année dernière en tentant de sauver des enfants de la noyade. Parmi le petit groupe de rescapés, le fils de
Jean-Philippe Domecq, Guilhem. Après la sidération le travail de deuil commence, avec en toile de fonds la culpabilité latente du jeune garçon. Dans cette émouvante ode à l'amie trop tôt disparue l'auteur fait renaitre cette femme solaire à la mélancolie discrète. Un texte qui mêle auto-fiction et réflexion sur la mort et la grâce.
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