Gabrielle se roule en petite boule en criant, les mains sur les yeux, mais elle n'entend même pas son propre cri tellement il se perd dans la masse des slogans, des tambours et des hurlement de la foule. Des voix inconnues se rapprochent, lui crient dans l'oreille.
- Ça va?
- Penche ta tête! Penche ta tête vers l'arrière!
On lui empoigne la tête, on la tient. Une autre voix crie:
-Ouvre tes yeux! Ouvre tes yeux!